Chroniques expressssss

blind guardian : imaginations through the looking glass

Un an apres la sortit du double cd live sobrement intitulé "live", blind guardian sort ce double dvd live enregistré et filmé sur le blind guardian open air dans la ville allemande de Coburg entre le 13/06 et 14/06/2004. Le groupe avec "imaginations through the looking glass" à incorporé deux dvd dans un sublime packaging en mettant en scene de nombreux personnage issue du seigneur des anneaux, et poussant le vice jusqu'a imité les menus d'écran des versions longues des films de la trilogie du seigneur des anneaux. Le premier dvd représente un mélange plutot reussis des deux concerts du blind guardian open air à coburg et le deuxieme, regroupe le making of du blind guardian open air, quatres titres live dont un enregistré aux wacken 2002, une galerie photo et une interview.
Le show présenté sur le premier dvd est le moment le plus interessant du dvd, le concert en lui meme est tres bon, la set liste joué est excellente et equilibré, en effet le groupe alterne entre morceaux speed et titres plus épique. L'album le plus représenté est imaginations from the other side dont tout les morceaux sont joué, mais les autres réalisations studio du groupe ne sont pas pour autant oublié, à part les trois premier opus (excepté les tubes que sont devenu "valhalla", "banish from sanctuary", "lord of the ring" et le rarement joué "the last candle") et le dernier opus en date (à l'exeption de "punishment divine" et du epique et tres bon "and then there was silence"). Les lumieres et les effets pyrotechniques sont tres beau et n'en font pas trop, le son est tres bon et comme pour le double cd live sortit l'année dernière, l'interprétations des morceaux est sans faille (aucune fausse note), la mise en scene est sobre et efficace, malgré le statisme de certains musiciens (surtout Hansi Kursh) et le fait qu'on ne voit pas beaucoups le clavieriste Matthias Wiesner et le bassiste de session (hansi kursh s'occupait aussi de la basse jusqu'en 1998) Oliver Olswarth. Le montage est tres dynamique voir trop dans certains passage rapide, Les 2h20 du concert passe tres vite et des chansons comme "valhalla" et "the bard's song (in the forest) reste les préféré du public (le public répètera trois fois le refrain de "valhalla" lors du show, et lors de l'interprétation de "the bard song (in the forest), le lieu du festival se transformera en chorale géante).
Passons rapidement sur les bonus qui ne sont pas exceptionnel mais propose un programme assez varié, en effet, cela va d'une interessante interview, aux making of du blind guardian festival 2003 assez instructif (en allemand sous titré anglais pour les voix off), les quatres titres live supplémentaire proposé en bonus (majesty, into the storm, welcome to the dying, lost in the twilight hall) dont un enregistré aux wacken 2002, sont assez bon.

génial pour le concert

sympa pour les bonus

Merci pour cette chronique, je pense que je vais me le procurer.

dissection : storm of the light's bane

Avec ce deuxieme album sortit en 1995, le combo suedois mené par le dérangé jon nödtveid, reussis le tour de force de mélangé harmonieusement le metal extreme aux mélodies notament, grace à des compositions variés et arrangé de facon intéligente, cet opus ne tombe jamais dans le bourinage primaire.
Avec des melodies entrainante et inspiré ("where dead angels lie", "thorns of crimson death", "night's blood") et à un tres bon travail de production de dan swanö, cet album reste une référence pour le genre, malgré des textes stupide et une ideologie un peu trop porté sur le satanisme donc :

9/10

Insomnium : in the halls of awaiting

Avec ce premier album sortit en 2002 chez le célèbre label anglais candlelight records (emperor, opeth, khold), les finnois d’insomnium propose un opus très (trop ?) inspiré par des groupes comme in flames (celui d’avant clayman), d’amorphis (période death) et sentenced (période amok). Musicalement la formation propose un death assez mélodique aux structures simple, les chansons sont accrocheuse mais manque de variété et de personnalité, en effet, le son des guitares ressemble à celle de l’album amok de sentenced, et les chansons aux groupes cités plus haut, malgré cela, ce premier opus se laisse écouter et reste un bon album malgré tout, donc :

7/10

DISARMONIA MUNDI: Fragments of D-generation: groupe italien proche de Soilwork par le style de musique, leur chanteur y assure d'ailleurs une partie des vocaux. Si vous aimez Soilwork, à acheter les yeux fermés.
THUNDERCLASSE
P. S. : je ne dis pas çà parce qu'ils sont italiens!

insomnium : since the day it all came down

Deux ans apres "in the halls of awaiting", le combo finlandais nous revient cette année avec ce nouvel opus "since the day it all came down", qui montre une progression assez interessante de la part d'insomnium, en effet les erreurs du premier album ont été corrigé et voit la formation finnoise mélangé avec bonheur ses influences d'origine (in flames, amorphis, sentenced et le folk) aux rock progressif (breaks acoustique, compos à tirroire) ce qui donne des compositions beaucoups plus audacieuse et raffiné. Meme si cet album est plus complexe et moins immédiat que le premier, cet opus est sans conteste leur meilleur à ce jour et si le melange death metal et rock progressif ne vous fait pas peur, n'hésiter pas à vous le procurer.

8/10

orphaned land : mabool (the story of the three sons of seven)

Après deux albums d’excellente facture (« sahara » « el norra alila »), les israéliens d’orphaned land nous sort avec ce troisième album « mabool (the story of the three sons of seven) » une des meilleur surprises de cette année. En effet la formation israélienne, à réussis à sortir un album mélangeant avec harmonie le metal, le progressif et la musique traditionnel moyen oriental. Les instruments traditionnels comme le saz, le buruki et le oud font bon ménage avec les instruments électrique, le chant de l'excellent kobi farhi (voix death, voix clair mélodique, narration) se marie très bien à celle de shlomit levi (voix feminine oriental) et aux quelques très bon choeurs orientaux féminin (moran ensemble), qui donne à l'ensemble du disque ce coté mystique et mystérieux. Le concept de l’album est une libre interprétation assez intéressante et fine du déluge inspiré par les écrit issue de l’ancien testament (mabool signifiant déluge en hébreux) est interprété dans quatre langues différente (anglais, latin, hébreux, yéménite) et met en scène les trois fils de seven avant, pendant et après le déluge (le thème principal de l’histoire est la rencontre et l’amitié entre des personnes de cultures et de religions différentes). Grâce à ce métissage réussis entre la culture occidentale et orientale, orphaned land nous sort la son meilleur opus et un des meilleur albums de l’année donc :

9/10

p.s. : la version limité deux cd contient en bonus sur le deuxieme cd un tres bon concert acoustique qui inclus la version d'orphaned land en acoustique de la chanson de paradise lost "mercy".

Fear factory : archetype

Avec ce cinquième album, fear factory marque son retour sur la scène international après la séparation de la formation américaine à la fin de la tournée de son controversé quatrième album «digimortal», et livre la son meilleur album depuis l’excellent «obsolete». Avec ce nouvel album, le groupe ne révolutionne pas pour autant sa musique, car avec «archetype», fear factory avec son mélange typique de hardcore, de metal, et d’industriel distille toujours sa marque de fabrique dans ses chansons avec ce coté froid et mécanique, présent aussi bien dans l’interprétation, que dans la production de cet opus. Le chant de Burton c bell est toujours aussi redoutable dans les vocaux aggrésif et montre une nette amélioration aux niveau du chant mélodique.
Avec ce nouvel opus, fear factory réussit son retour et réalise la un des ses meilleur album donc :

8/10

falkenbach : ok nefna tysbar ty

avec ce troisieme album, l'homme orchestre de falkenbach l'allemand vratyas vakyas (chants, guitares, basses, claviers, paroles, musiques, production) à reussis à réaliser un opus de viking metal particulierement inspiré et epic. Les chansons et les arrangements sont superbe et correspond à ce que l'on attend de vratyas vakyas (batterie mid tempos, guitares acoustique en grand nombre, flutes, claviers atmosphérique, choeurs épic et guitares electrique essentiellement rythmique volontairement sous mixé), le style de falkenbach s'inspire tantot de bathory (période viking) et des vieux forlorn pour la chanson "donar's oak". Le chant dans cet opus marque un changement dans la carrière de vratyas vakyas car le chant black à été abandonné (excepté sur le premier morceau ou il apparait de temps en temps) aux profits d'un chant clair mélodique et assez medieval dans l'esprit. Il est à notté que le cerveau de falkenbach à fait appel à des musiciens de cession pour l'aider durant l'enregistrement pour la batterie (boltthorn de vindsval), pour les guitares acoustique (hagalaz de vindsval) et les parties de chant black sur le premier morceau "vanadis" (tyrann de vindsval). Avec ce nouvel opus, falkenbach à reussis un coup de maitres et à sortit la avec ce "ok nefna tysbar ty" son meilleur album, et si vous etes fan de bathory dans sa période viking metal, je vous le conseille fortement, donc :

8/10

Borknagar : epic

Avec l’album « Empiricism » les Norvégiens de borknagar entrait dans une nouvel ère de son histoire avec le départ de leur ancient bassiste/chanteur Simen «ics vortex» Hestæs pour dimmu borgir (après la tournée de l’album «quintessence») et son remplacement par le recrutement du chanteur et multi instrumentiste suédois Andreas « vintersorg » Hedlund (vintersorg, otyg, fission…) aux chant et de Jan Erik "tyr" Torgersen à la basse . Avec ce nouvel opus produit par le groupe et Borge Finstad intitulé «epic» et malgré le départ du second guitariste Jens f. Ryland (pour les enregistrements studio il n'a pas été remplacé) et du bassiste Jan Erik "tyr" Torgersen (remplacé pour cet album par le batteur Asgeir Mickaelson). Le combo scandinave nous offre un album mélangeant avec finesse, metal extrême, folk, rock progressif et electro. Avec toute ces influences, on à droit à des compositions varié allant du borknagar classique (« future reminiscence ») à des morceaux plus expérimentaux et avant-gardiste («the inner ocean hypothesis) en passant par des passages instrumentaux (« the weight of wind »). Le chant de Vintersorg alterné entre vocaux black (voir death comme sur « futur reminiscence ») et vocaux clair mélodique (en plus des chœurs du clavieriste Lars a Nedland [solefald]) est de très bonne qualité et apporte une certaine personnalité à l’album. Grâce à ça richesse musicale et à la qualité de ses compositions et de ses arrangements, borknagar nous sort un nouvel album de très bonne qualité et qui est à conseillé aux fans des derniers albums de Vintersorg (le groupe) dont il est le parfait complément, donc :

9/10

Solar, pq tu n'écris pas des chros dans un fanzine ? car elle sont bien cool ...

je soutiens keefmaster, elles sont vraiment très bien tes chroniques !!!

Oui elles sont bien ! et c'est une grande joie que de les voir sur Thunder Solarfall rulz !

moonspell : wolfheart

Après le mini album teinté de black metal et de musique orientale «under the moonspell » sortit en 1994 chez adipocere, les Portugais de moonspell sort en 1995 ce premier album « wolfheart » produit par le groupe lui-même chez le célèbre label century media, et ont peu dire que le groupe fait déjà preuve de créativité et de personnalité et délivre la un superbe premier album de dark metal teinté de gothique. Les compositions sont assez varié et recherché, cela va des titres dark metal teinté de gothique (wolfshade [a werewolf masquerade]) aux titres inspiré par le folklore portugais (trebaruna) en passant par les morceaux purement gothique (an erotic alchemy, vampiria) et les futur classique encore joué sur scène comme le fantastique dernier morceau alma mater. Les vocaux de langsuyar (le pseudonyme de fernando ribeiro à l’époque) alterne entre vocaux agressif majoritairement black (un des rare éléments restants de l’époque « under the moonspell »), vocaux plaintif, voix à tonalité gothique et chant mélodique. L’interprétation des morceaux est excellente et l’ambiance loup-garou et vampirique conféré par la production de cet opus est particulièrement envoûtant. Ce premier opus est à conseillé à ceux qui veule connaître les début de ce groupe majeur et même si il n’est pas le meilleur album du groupe, « wolfheart » reste un très bon premier album agréable à écouter , donc :

8/10

JE T'EMBAUCHE !!! )

unleashed : sworn allegiance

Deux apres l'album "hell's unleashed" et histoire de feter dignement ces quinze ans de carrière (le groupe c'est formé en 1989), unleashed nous revient en pleine forme avec ce excellent nouvel album intitulé "sworn allegiance" superbement produit par fredrik folkare (un des deux guitaristes du groupe) aux chrome studios de stockholm. Le groupe pratique toujours depuis son premier album "where no life dwells" en 1991, un death metal suedois du début des année 90 teinté de thrash. Les chansons sont assez direct et accrocheuse, les riff de tomas et de fredrik sont devastateur et inspiré mais toujours mélodique, les tempos sont varié (les tempos rapide sont alterné à des tempos plus lourd), le chant rageur de l'imposant et charismatique bassiste/chanteur johnny hedlund est redoutable de précision et sert parfaitement les chansons. Comme pour les excellent amon amarth, unleashed partage la meme passion pour la culture nordique et la culture viking mais le combo est capable de diversifié ses textes comme le montre "winterland", "praised be the lord" et "metalheads". Avec ce nouvel album, les vétérans suedois reussise leur retour et livre la avec "sworn allegiance" un très bon opus assez inspiré et accrocheur taillé sur mesure pour la scene, donc :

8/10

megadeth : the system has failed

deux après la séparation officiel du combo à la fin de la tournée "the world needs a hero" et la sortit du double live "rude awakening", le guitariste/chanteur dave mustaine décide de relancer son groupe megadeth avec ce nouvel album nommé "the system has failed" chez sanctuary records et produit de main de maitre par le duo Dave Mustaine/Jeff Balding. Pour l’enregistrement de ce nouvel opus, en dehors du retour du revenant chris poland à la guitare lead, le guitariste/chanteur dave mustaine c’est entouré de musicien de studio réputé comme l’excellent batteur Vinnie Colaiuta (Frank Zappa, Sting, Simple Minds, Celine Dion entres autres) et du bassiste Jimmie Lee Sloas (surtout connut pour jouer sur des albums de country et qui remplace l’indésirable Dave Ellefson). Les compositions dominé par les riffs inspiré et le chant caractéristique de dave mustaine, alterne brûlots thrash rappelant l'époque de "rest in peace" (blackmail the universe, kick the chair), titre heavy metal rappelant "countdown to extinction" et "youthanasia" (truth be told, something that i’m not) et titres pop/metal acrocheur qui n'aurait pas dépareillé sur "cryptic wrinting" (die dead enough). Comme l'indique la pochette et le titre de l'album les textes traite principalement de politique, mais mustaine n'oublie pas pour autant "de rendre hommage" à son ancien bassiste David Ellefson sur "something that i'm not" voir de parler de lui meme sur la chanson "of mice and men". Meme si cet album possede beaucoups de qualité comme sa fraicheur et sa variété, ont peut regreter la présence des faiblard "shadow of deth" "my kingdom" sur la fin de l'album. Avec ce nouvel opus, le combo réussis à sortir la sont meilleur effort studio depuis "cryptic writing" et même si "the system of failed" n'est probablement pas le meilleur album du groupe il reste néanmoins un excellent album bourré de qualité.

8/10

Crematory : revolution

Quatre ans après la séparation du groupe à la suite de la tournée « believe » (pour des problèmes financier), les Allemand de crematory décide de relancer la machine avec la sortit de ce nouvel opus intitulé « revolution » produit par le batteur du combo markus jüllich et le groupe lui-même. Au niveau du style, par contre pas de révolution dans sa musique, le combo pratique toujours une musique proche de ce qu’il proposait avec « believe » c’est à dire un metal gothique teinté d'éléments électro combiné à des voix death et à du chants clairs masculin, mais avec une mise en valeur plus importante des éléments électroniques par rapport aux guitares sur ce nouvel opus. Les chansons sont inspiré et accrocheuse et mélange avec reussite les tempos lent et moyen de markus jüllich, les guitares rythmique et harmonique de Matthias Hechler, les claviers au son electro/indus et loops de Katrin Goger avec des éléments pop et death. Les vocaux du vocaliste Gerhard « Felix » Stass (voix death, chant grave) et du guitariste/chanteur Matthias Hechler (voix claires) sont très bien éxécuté et se complementarise très bien. Avec ce nouvel album les Allemands de crematory reussise leur retour devant la scène et grâce à des compositions de très bonne qualité, le combo allemand réussis la un bon opus.

7/10

voivod : dimension hatröss

Ce quatrieme album "dimension hatröss" des canadiens de voivod, alors constitué de michel "away" langevin à la batterie, jean-yves "blacky" theriault à la basse, denis "piggy" d’amour à la guitare et de denis"snake" belanger au chant sort en 1988 chez le label allemand noise records (helloween, kreator, tankard, gamma ray…). Il fait suite aux troisième opus "killing technology" sortit deux ans plus tôt en 1986 qui avait marqué un début d’évolution dans la musique du quartet québécois en évoluant vers une musique plus expérimental et personnel. Musicalement le combo fait comme sur l’album "killing technology" un techno/thrash novateur pour l’époque qui mélange allégrement des influences musicale varié comme le thrash-metal, le rock progressif, la musique tribal (comme le montre les parties de batterie du morceau "tribal conviction"), break dissonant (un peu à la façon de king crimson) et le punk (surtout dans le chant). L’ambiance distillé par les morceaux de cet opus qui narre l’aventure du personnage voivod qui s’enfuit dans une autre dimension qu’il à créer dans son laboratoire y est étouffante et malsaine, car le sujet traité dans le concept est le danger de la dérive de la science. Avec ce quatrième album, le quartet de montreal, malgré sa production daté et sa relative difficulté d’accès réalise la un de ses meilleur album et est à conseillé aux amateur de techno-thrash (thrash technique) de la fin des année 80 et à ceux qui veulent découvrir cet unique combo.

8/10

symphony x : the damnation game

Ce second album «the damnation game » sortit en 1997 par le quintet américains symphony x alors constitué du batteur jason rullo, du bassiste thomas miller (qui quittera le groupe après la tournée suivant la sortit du quatrième album studio "twilight in olympus"), du guitariste et leader michael romeo, du claviériste michael pinella et du formidable russell allen au chant (qui enregistre la son premier album avec la formation américaine et qui remplace avantageusement le chanteur du premier opus rod tyler), fait suite au peu mémorable premier album sobrement intitulé "symphony x" sortit en 1994 (michael romeo le considère comme un mauvais album) . Avec ce second album, on retrouve déjà le style typique du groupe américains, c’est à dire un subtile mélange de metal neo-classique, de progressif et d’une petite touche médiévale. Les chansons sont plutôt inspiré et variées (cela va du metal neo classique assez direct à la malmsteen [the damnation game] aux progressif [the edge of forever] en passant par les balades médiéval [whispers]), mais malgré toute ces qualités, cela manque encore de maturité et d’un peu de personnalité dans l'interprétation même des morceaux (cela ressemble parfois trop à du yngwie j malmsteen) et pour continuer dans les défauts, la production et les arrangements de ce second opus, ne sont pas encore aux niveaux des albums suivant, mais reste très correct et surtout très nettement supérieur à celle du premier opus éponyme. Malgré ses quelques défauts précité plus haut et le fait que le groupe manque encore à cet époque d'expérience , "the damnation game" reste toutefois un bon album très agréable à écouter et recommandable à tout ceux qui veulent découvrir le symphony x pré "the divine wings of tragedy".

6/10

chroniques à venir :

metal extreme :

bloodbath : nightmares made flesh
lord belial : the seal of belial
amon amarth : once sent from the golden hall
amon amarth : fate of norns
bathory : blood on ice
the haunted : rEVOLVEr

heavy-prog :

symphony x : le reste
blind guardian : nightfall in middle-earth
blind guardian : live
therion : lemuria
therion : sirius b
blind guardian : tokyo tales

Bloodbath: nightmares made flesh

Ce second méfait de la formation suedoise bloodbath (sorte de super groupe composé de membres d’hypocrisy, de katatonia, et d’ edge of sanity) sobrement intitulé »Nightmares made flesh » sortit en cette année 2004 chez century media, fait suite au premier opus « ressurection through carnage » sortit en 2002 et à l’EP « breeding death » en 1999. Ce nouvel opus studio marque l’arrivé dans le groupe du chanteur Peter Tägtgren et du batteur Martin Axenrot (qui remplace Dan swanö qui à troqué sa batterie pour une guitare) et du départ de l’ex-chanteur Mickael Akerfeldt (partit pour mieux se consacrer à son propre groupe opeth).Alors que le premier opus « ressurection through carnage » se limitait à un death metal old scholl à la entombed, son successeur produit par le groupe et jens bogren est plus varié, car il passe en revu, tout le spectre musical du death metal (ca va du death mélodique au brutal death en passant par le death old scholl), et grâce à cette diversités de style et de tempo (du mid tempo aux blast) cela confère à l’ensemble un certains dynamisme bienvenu. L’interprétation des morceaux est très bonne (ce qui est normal, vu le cv des membres du groupe) et l’ambiance distillé par les riffs du duo Dan Swanö/Anders Nyström et des vocaux gutturaux de Peter Tägtgren tout au long des douze morceaux y est tantôt apocalyptique tantôt sombre. Malgré tout ces qualités cet opus possède quelques petits defaults comme la présence d'un ou deux titres plus dispensable par rapport aux meilleurs morceaux de l'album que sont les titres "outnumbering the day" ou "brave new hell" et le fait que « nightmares made flesh » est été enregistré assez rapidement et qu'il aurait mérité un peu plus de temps pour son enregistrement mais malgré tout, ce second opus souffre d’aucun default majeur en dehors des petits défaults cité plus haut et s’avère être un excellent album à conseillé à tout ceux qui aime le death metal dans toute sa variété.


8/10

Pinaise, tu l'as reçu today et tu le critiques déjà ... Crois tu avoir un recul suffisant pour pouvoir juger un album en un jour ?

je l'ai écouté attentivement trois-quatres fois aujourd'hui ce qui m'a permis d'avoir du recul avec cet album, je ne juge jamais un album à la premiere écoute je le fais qu'a partir de la quatrieme et cinquieme quand je l'ai bien assimilé.

solarfall a écrit:

je l'ai écouté attentivement trois-quatres fois aujourd'hui ce qui m'a permis d'avoir du recul avec cet album, je ne juge jamais un album à la premiere écoute je le fais qu'a partir de la quatrieme et cinquieme quand je l'ai bien assimilé.

ok , j'avoue avoir eu peur un moment